En ce qui concerne la comparaison des adjectifs en français des IXe–XIIIe siècles, la coexistence de formes synthétiques et analytiques est manifeste. Les dernières, pourtant, dominent quantitativement. L’ancien français possède déjà des multiples constructions syntaxiques exprimant les degrés d’intensité, tout comme la langue moderne. En plus, d’après son sens, le superlatif de l’ancien français pourrait bien être classé comme le comparatif (mais de référence inclusive, seulement) – comme l’a découvert B. Pottier pour la langue d’aujourd’hui.