Le sujet exprimé par nom, pronom ou désinence verbale accompagne les formes verbales composées ayant pour l’auxiliaire avoir ou être. Elles sont déjà assez fréquentes (dans les premières parties de 2 textes analysés) et capables d’exprimer un grand nombre de temps de formation purement française. Pour la plupart de cas, l’auxiliaire suit le sujet et précède le participe, constituant ainsi Je syntagme verbal régulier. Il y en a cependant des cas ou cet ordre est cassé (pour des raisons caractéristiques à l’ancien français). Les constructions syntagmatiques de Roland ne présentent pas trop de différences; celles de Tristan sont plus variées.